Author Guillaume Apollinaire Ah Dieu ! que la guerre est jolie Avec ses chants ses longs loisirs Cette bague je l'ai polie Le vent se mêle à vos soupirs Adieu ! voici le boute-selle Il disparut dans un tournant Et mourut là-bas tandis qu'elle Riait au destin surprenant Rate this poem Select ratingGive it 1/5Give it 2/5Give it 3/5Give it 4/5Give it 5/5 No votes yet Rate Log in or register to post comments