Author Paul-Jean Toulet Ô poète, à quoi bon chercher Des mots pour son délire ? Il n'y a qu'au bois de ta lyre Que tu l'as su toucher. Plus haut que toi, dans sa morphine, Chante un noir séraphin. Ma nourrice disait qu'Enfin Est le mari d'Enfine. Rate this poem Select ratingGive it 1/5Give it 2/5Give it 3/5Give it 4/5Give it 5/5 No votes yet Rate Log in or register to post comments